Prendre une décision ou comment éviter l’insomnie
Gérer une entreprise, la projeter à six mois, un an, voire à trois à cinq ans, ressort du CEO, bien sûr. Anticiper la trésorerie, vérifier les indicateurs, élargir les ventes, animer les RH, commence à s’apparenter à de la conduite de Formule 1, tant les turbulences économiques se succèdent (épidémies, raréfaction de matériaux, pénurie de main d’œuvre …).
Prendre une décision, que l’on veut la plus pragmatique et adaptée à l’entreprise, à court et moyen terme parce que le long terme parait trop éloigné : c’est le quotidien du/des dirigeants.
Mais comment faites-vous pour prendre cette décision ?
Prenez-vous le conseil du comité de direction, l’avis du conseil d’administration en matière de stratégie ou l’avis d’experts extérieurs ?
Vous fiez-vous à votre instinct/votre expérience, en solitaire ?
Pensez-vous avoir un processus logique ?
Est-ce toujours le même ?
Si votre cheminement de pensée a mené votre entreprise vers l’envol, félicitations !
Si votre entreprise tangue, si elle ralentit ou veut prendre de la vitesse, ce processus de prise de décision sera-t-il suffisant ? Peut-être, car ce qui a fait un succès hier peut en faire un autre demain. Ou pas.
Comment allez-vous décider, aujourd’hui ou demain, de choisir telle ou telle option, au sein de votre organisation et pour une organisation fonctionnelle ?
Posons là, tout de suite, le fait qu’il n’y a pas un seul moyen de décider, universel. Le meilleur moyen sera celui qui vous convient, et au terme duquel vous ne vous réveillerez pas la nuit en vous disant : « ai-je bien fait ?».
Sans avoir la prétention d’être somnifère, Pérégrine, comme elle est extérieure à la société, a un atout : elle prend du recul, et objective le processus de décision, qu’elle interroge.
Pérégrine, dans cette démarche, vise le résultat : mettre le dirigeant en mesure de trouver le processus de décision qui convient, à sa personnalité… et à son entreprise, bien sûr.