La simplicité
Ou comment faire simple sans être simpliste ou benêt ?
Avez-vous vu les robes de certains grands couturiers des années 50 ou 60? Elles ont parfois une simplicité d’apparence extrême, nourrie par des dizaines d’heures de couture des« petites mains ».
En fait, la simplicité ne peut apparaître qu’au terme d’un travail en amont de réflexion, de labeur parfois besogneux, une accumulation d’idées, de mots, de concepts, de problèmes que l’on va tranquillement élaguer, élaguer, dépouiller encore, pour n’en retenir que l’essence. En cela, la simplicité n’a rien de simpliste ni de galvaudé.
Seule la simplicité permet une synthèse intelligible de données complexes à intégrer.
Pour faire émerger la simplicité, il faut renoncer. Renoncer à tout dire, renoncer à montrer sur le papier/l’écran que l’on maîtrise tout, que l’on a tout vu, tout balayé, en 43 pages et une table des matières en conséquence.
Et pour renoncer, quels ingrédients? La confiance en nos compétences, la reconnaissance de nos compétences, l’envie d’être efficace, un dialogue entre collaborateurs, une question initialement bien posée, un travail en équipe, la confiance…
Et si la concision et la simplicité des PowerPoints étaient des gages de qualité d’une équipe ?Accompagner les équipes – Peregrine consulting (peregrine-consulting.fr)
D’ailleurs, dans votre entreprise, quelle longueur ont vos PowerPoints ?